UNE ICÔNE EN DEVENIR, UNE BEAUTÉ QUI SE RÉINVENTE
Il est des alliances qui semblent évidentes. En nommant Kaia Gerber Ambassadrice Mondiale, NARS signe bien plus qu’une collaboration : une rencontre entre une beauté instinctive et une vision artistique intemporelle.
Entre héritage iconique et modernité assumée, la marque ouvre un nouveau chapitre, incarné par une muse qui traverse la mode, la culture et l’image avec une élégance naturelle.
NARS ouvre un nouveau chapitre avec Kaia Gerber
KAIA GERBER PHOTOGRAPHIÉE PAR FRANÇOIS NARS
Il est des rencontres qui semblent écrites à l’avance. Celle de NARS Cosmetics et de Kaia Gerber en fait incontestablement partie. La maison fondée par François Nars annonce aujourd’hui l’arrivée de Kaia Gerber en tant que nouvelle Ambassadrice Mondiale, incarnant une vision de la beauté à la fois contemporaine et intemporelle.
Une allure d’aujourd’hui, un esprit d’hier
Silhouette longiligne, regard magnétique, présence presque cinématographique : Kaia Gerber traverse les podiums et les couvertures comme une évidence. Plus qu’un mannequin, elle incarne une idée de la beauté où l’attitude prime autant que l’esthétique. Une beauté habitée, consciente, libre.
Sa collaboration avec François Nars s’inscrit dans une relation de longue date, nourrie par une même sensibilité artistique. Dès janvier 2026, elle dévoilera cette nouvelle alliance dans la campagne Afterglow Lip Balm, imaginée et réalisée par François Nars lui-même. Une campagne pensée comme un retour aux sources, à l’essence même de l’image iconique.
« Kaia est une beauté authentique, une figure emblématique de son époque qui porte en elle l’âme d’une autre. Travailler avec elle m’a rappelé l’âge d’or des supermodels, lorsque l’énergie, la joie et l’amour de l’image donnaient naissance à une véritable magie devant l’objectif. »
François Nars, Fondateur et Directeur Artistique
À la croisée des disciplines
Muse des plus grandes maisons de mode, Kaia Gerber étend aujourd’hui son influence bien au-delà des défilés. Cinéma, télévision, culture littéraire notamment à travers Library Science, sa plateforme dédiée aux talents créatifs émergents elle explore les territoires où l’image dialogue avec l’intellect.
C’est précisément dans cette intersection entre mode, beauté et culture que NARS inscrit son héritage. Une beauté qui ne se contente pas de séduire, mais qui raconte, interroge et inspire.
« NARS a toujours occupé une place très personnelle dans ma vie. François a été l’un des premiers à me photographier, et NARS est la toute première marque de maquillage que j’ai portée. Aujourd’hui, devenir le visage mondial de cette maison iconique est à la fois irréel et profondément émouvant. »
Kaia Gerber, Ambassadrice Mondiale NARS
NARS Cosmetics, l’audace comme signature
Fondée en 1994 avec seulement douze rouges à lèvres, NARS Cosmetics s’est imposée comme une référence absolue dans l’univers de la beauté. Couleurs franches, formules avant-gardistes, campagnes percutantes : la marque célèbre une beauté individuelle, assumée, résolument moderne.
Chez NARS, chaque produit est une invitation à l’expression de soi, fidèle à la philosophie de son fondateur :
« Ne vous retenez pas. Soyez audacieux. »
Avec Kaia Gerber, NARS ne se contente pas de présenter un nouveau visage. La marque affirme une vision : celle d’une beauté iconique, vivante, et profondément incarnée.
À découvrir dès janvier 2026.
Auberge de Dardagny Chronique d’un déjeuner lumineux au cœur du Mandement
Entre vignes et pierres anciennes, l’Auberge de Dardagny renaît avec une cuisine sincère signée Fabio Stridi. Un déjeuner lumineux, marqué par de belles assiettes de terroir, quelques nuances comme le sébaste un peu trop rosé ou l’entrée au Pithivier déjà épuisée à 12h45 et une note premium, avec des prix dès 30 CHF. Un moment hors du temps, dans un lieu où l’on se déconnecte totalement… pour mieux savourer l’essentiel.
Certaines adresses renaissent comme on respire à nouveau : lentement, avec profondeur, en révélant un charme que le temps avait simplement endormi. L’Auberge de Dardagny, blottie entre vignes et pierres anciennes, fait partie de ces lieux qui réapparaissent avec une élégance tranquille. Ouverte au public depuis le 1er novembre 2025, l’auberge accueille, à l’heure du déjeuner, une clientèle variée et fidèle. Avec une fréquentation régulière environ 30 couverts par service pour 36 places la maison esquisse déjà les contours d’une table ancrée dans la sincérité du terroir, portée par une convivialité assumée et une identité claire.
Un décor où l’authenticité prime
À l’entrée, un café-épicerie réchauffé par l’odeur de viennoiseries et la présence d’une cave à vins bien pensée pose le ton : ici, la gourmandise n’est jamais loin. La grande table ronde invite au partage, tandis que la salle principale, baignée de lumière, s’ouvre sur une cour intérieure où l’on pourrait imaginer s’attarder aux beaux jours.
Aux murs, 25 illustrations originales d’Albertine, artiste genevoise originaire du village, ajoutent un souffle poétique. Initialement pensées comme une simple décoration, elles séduisent tant que certaines ont déjà trouvé leur acquéreur une preuve de l’attachement immédiat que suscite l’endroit.
La cuisine de Fabio Stridi : précision, instinct et respect du produit
Le midi, la maison annonce une carte courte trois entrées, trois plats, trois desserts articulée autour d’un menu du marché. La démarche se veut claire : privilégier la fraîcheur, respecter le produit sans l’alourdir, et raconter le terroir à travers des gestes simples et précis.
Lors de notre déjeuner, cette offre élargie ne nous a toutefois pas été présentée, le serveur ne semblant pas en avoir connaissance. Nous l’avons découverte ultérieurement : la proposition sucrée compte en réalité entre cinq et huit desserts exposés en vitrine, tandis qu’un chariot de fromages, réunissant neuf à douze références suisses, est disponible à midi comme tout au long de la journée.
Tarifs du midi :
Le plat du jour, précédé d’une petite salade mêlée, est proposé à 22.- CHF
Entrée + plat : 35.- CHF
Plat + dessert : 30.- CHF
Menu complet : 40.- CHF
Le soir, la table s’élargit : malakoffs dorés, viandes grillées sur ceps de vigne, chasse selon la saison, fromages affinés, et une collection de panettones maison que le chef prépare avec un soin artisanal.
Fait remarquable, presque déconcertant : ils ne sont que trois en cuisine. Une petite brigade, une grande maîtrise.
Notre déjeuner aujourd’hui une lecture du terroir en trois actes
Entrées
Salade mêlée
Un début tout en fraîcheur, volontairement épuré. Une entrée simple, efficace, qui ouvre le palais sans l’alourdir.
Pressé de saumon et crevettes, sauce béarnaise
Un contraste délicat entre le fondant du saumon et la fermeté subtile des crevettes. La béarnaise, soyeuse et parfumée, aurait gagné à être servie plus chaude pour libérer pleinement ses arômes d’estragon.
Un regret : l’absence du Pithivier de volaille
À 12h45, petite déception : le Pithivier de volaille et foie, accompagné de cèpes et d’une sauce madère, n’était déjà plus proposé. Une entrée aux accents de saison que j’aurais aimé découvrir.
Cette absence se fait d’autant plus perceptible que, pour un déjeuner servi dès 12h00, l’auberge se positionne dans une fourchette tarifaire plutôt élevée pour une formule en trois plats, le plat du jour étant affiché à partir de 22 CHF. Un choix assumé, mais qui ne conviendra pas à tous les budgets.
Plats
Risotto aux champignons persillés, vieux Sbrinz
Une assiette chaleureuse, presque forestière. Les champignons libèrent un parfum boisé, adouci par le persil frais. Le vieux Sbrinz apporte cette note subtilement saline et légèrement fruitée qui enveloppe le tout avec rondeur.
Sébaste au thym citron, frisée à la napolitaine
Un plat lumineux, parfaitement équilibré entre la fraîcheur du thym citron et les amertumes maîtrisées de la frisée.
Petite réserve personnelle : la cuisson du poisson, très nacrée, s’est révélée un peu trop rosée pour mon goût. Un bref passage supplémentaire aurait offert un fondant idéal.
Desserts
Tarte pomme–framboise
Une douceur d’automne : la framboise apporte son éclat, la pomme sa rondeur. Une tarte simple, bien exécutée, fidèle à l’esprit maison.
Crème caramel aux épices douces
Un dessert réconfortant, à la texture soyeuse, ponctué d’un caramel légèrement amer et d’épices délicates. Une fin de repas classique mais profondément gourmande.
Note pratique : ici, vous êtes hors réseau
Un détail qui mérite d’être mentionné : aucun signal, pas de Wi-Fi, aucune connexion possible.
Un charme bucolique pour certains, une contrainte pour d’autres. À anticiper avant de s’installer.
En conclusion
L’Auberge de Dardagny signe le retour d’une table où l’on célèbre le terroir sans ostentation. Une cuisine sincère, une atmosphère habitée, un village qui retrouve une part de son âme. Malgré quelques nuances une entrée manquante, une cuisson peut-être trop rosée le lieu s’impose déjà comme une adresse à suivre, à revisiter, et à accompagner dans sa renaissance.
Une maison où le temps ralentit, où l’on déjeune avec simplicité et profondeur, et où l’on se reconnecte à l’essentiel… en se déconnectant complètement.
Informations utiles
Auberge de Dardagny
504 route du Mandement 1283 Dardagny
+41 79 913 12 83
auberge-dardagny.ch
Instagram : @auberge_dardagny_official
Baume fête ses 6 mois Notre regard depuis la rédaction New Sight Média
Hier soir, Baume a célébré ses six mois d’existence dans une atmosphère douce et intimiste. Le discours des fondatrices, Clémentine Raphel et Marie-Hélène Jacquot, a donné le ton : accompagner les femmes avec justesse, inspirer en douceur, révéler chaque personnalité avec bienveillance. Entre corner découverte, ateliers à venir et attentions chocolatées offertes aux invitées, la soirée a confirmé l’essence même de Baume : un lieu pensé pour écouter, guider et célébrer la féminité dans toute sa complexité.
« On fête la demi-année… et l’invitation à se réinventer. »
Imaginé par Clémentine Raphel et Marie-Hélène Jacquot, deux entrepreneures déterminées à transformer les codes du bien-être féminin, Baume Shop s’impose comme une approche globale et délicate : soutien aux cycles menstruels, accompagnement de la maternité, douceur face à la ménopause, et célébration quotidienne de la féminité dans toute sa richesse.
À quelques pas de la Vieille-Ville, derrière une vitrine écru et or pâle, se révèle un véritable écrin dédié au corps des femmes un lieu pensé pour embrasser chaque étape de la vie féminine, dans le respect, l’écoute et la bienveillance.
À l’intérieur, une sélection pointue : culottes menstruelles, maillots adaptés, soins naturels, lingerie de créatrices suisses… Le tout mis en scène dans un décor épuré, baigné d’une lumière douce qui révèle les matières nobles et l’intention précise des deux fondatrices.
La Boutique Baume avec les fondatrices, Clémentine Raphel et Marie-Hélène Jacquot,
Un lieu, une vision
Dès l’entrée, une atmosphère singulière s’impose un mélange de sérénité, d’élégance et d’intimité.
Les textures naturelles, les teintes poudrées, la sélection soigneusement orchestrée : tout invite à ralentir, à respirer, à s’écouter.
Baume ne cherche pas à impressionner. Il cherche à réconforter. Et c’est probablement là que réside sa force.
Une soirée douce, feutrée, presque confidentielle, où la lumière semblait chuchoter à voix basse et où chaque détail révélait l’âme du lieu :
Quelques temps forts :
Le discours des fondatrices, Clémentine Raphel et Marie-Hélène Jacquot, a ouvert la soirée avec une sincérité désarmante. Elles y ont dévoilé leur vision, cette philosophie qui habite Baume depuis ses premiers jours : « révéler chaque femme à elle-même ».
« Accompagner, inspirer, révéler », précisent-elles trois mots qui s’imposent comme une ligne de conduite, presque un manifeste.
Un corner découverte présentait les nouveautés ainsi que les ateliers à venir. Pensé comme un espace d’échanges libres et bienveillants, il permettait d’aborder les besoins liés au cycle, à la maternité, au post-partum ou à la ménopause. Un lieu où chaque invitée trouvait écoute, compréhension et conseils sur mesure.
Pour conclure la soirée, une douceur chocolatée a été offerte à chacune. Un geste attentif, délicat, fidèle à l’esprit de Baume : une maison qui prend soin, qui considère, et qui célèbre la féminité dans toute sa subtilité.
Ce que nous avons observé, en tant que média
Nous avons été frappés par :
• La cohérence globale : des produits éthiques, utiles, beaux, pensés pour durer.
• L’accueil : sincère, chaleureux, sans superflu.
• L’engagement : informer, conseiller, créer un espace d’écoute et de partage.
• La modernité du concept : un lieu qui ose parler du corps féminin avec tact, respect et simplicité.
Cette soirée a montré que Baume n’est pas seulement une adresse ; c’est une conversation ouverte avec chaque femme qui entre.
Avis de la rédaction New Sight Média
Baume est une respiration dans la ville.
Un espace délicatement pensé où l’on se sent immédiatement comprise, sans jugement et sans artifice.
Un cocon qui allie esthétique, sens et utilité avec un naturel déconcertant.
Dans un Genève où l’offre se multiplie mais se ressemble souvent, Baume s’impose par sa singularité :
une vision claire, une esthétique apaisante, et une approche profondément humaine.
Pour nous, ce concept mérite d’être vu, raconté, partagé car il répond à un besoin essentiel : celui de renouer avec son corps, en douceur et en vérité.
🎥 Découvrez notre reels sur Instagram : une immersion dans cette soirée élégante, chaleureuse et inspirante.
Un moment suspendu que nous avons eu l’honneur de couvrir en tant que média.
À retenir & prochaines étapes
• Adresse : 2 rue de la Mairie, 1207 Genève.
• Horaires d’ouverture ajustés : du mardi au samedi avec variations selon jour à consulter avant déplacement. Baume Shop
• Le concept : accompagnement féminin global, sélection de produits éthiques, espace d’échange et d’atelier.
Venoge Festival – Jour 3 : quand l’énergie urbaine rencontre l’élégance électro
Le Venoge Festival 2025 a vécu un 3ᵉ jour d’exception avec une programmation éclectique et enivrante. Jason Derulo a embrasé la scène principale avec ses hits planétaires, suivi par Bigflo & Oli, dont la complicité et l’écriture sensible ont touché le public en plein cœur. Sens Unik et Vladimir Cauchemar ont proposé un dialogue inédit entre rap légendaire et beats électro futuristes. Bon Entendeur et Vendredi sur Mer ont apporté une touche élégante et feutrée, avant que DJ Bens ne fasse danser la foule jusqu’au bout de la nuit. Entre pop, rap, électro et poésie scénique, cette soirée a confirmé la richesse et la diversité du Venoge Festival.
Photographe: Davide Gostoli Venoge 2025
"La musique est l’art de peindre le temps", écrivait Marguerite Yourcenar. Hier soir, au Venoge Festival, ce temps s’est coloré d’ondes urbaines, de pulsations électro et de refrains fédérateurs, offrant au public une expérience sensorielle totale.
Jason Derulo, la pop star flamboyante
Sous un ciel d’été vibrant, Jason Derulo a enflammé la scène principale avec une prestation calibrée entre chorégraphies millimétrées et refrains planétaires. Sa voix, mêlée à une énergie presque incandescente, a enveloppé la foule dans une euphorie collective, rappelant l’âge d’or des grandes pop stars américaines.
Bigflo & Oli : l’art de fédérer
Les frères toulousains ont confirmé leur statut de poètes urbains. Entre humour et émotion brute, leur plume incisive a fait résonner des histoires universelles, où chaque spectateur retrouvait un fragment de lui-même. Leur complicité fraternelle, palpable sur scène, a insufflé une chaleur humaine rare dans un festival de cette envergure.
Sens Unik & Vladimir Cauchemar : le choc des univers
D’un côté, la légende du rap suisse Sens Unik, véritable mémoire vivante d’une génération ; de l’autre, l’univers masqué et surréaliste de Vladimir Cauchemar. Ensemble, ils ont fait voyager le public entre authenticité old school et beats dystopiques, dans un dialogue inédit où tradition et modernité se sont confrontées et embrassées.
Bon Entendeur & Vendredi sur Mer : élégance française
La soirée s’est poursuivie avec des notes plus feutrées et sensuelles. Bon Entendeur a offert un set hypnotique, où chaque sample semblait suspendre le temps, tel un parfum d’été persistant dans l’air. Puis, Vendredi sur Mer, avec sa voix suave et son esthétique délicate, a enveloppé la scène d’une aura intimiste, presque cinématographique.
DJ Bens : l’explosion finale
Pour clore cette troisième journée, DJ Bens a transformé le festival en un gigantesque dancefloor à ciel ouvert. Entre drops électrisants et rythmes survoltés, il a offert une communion nocturne où les corps se sont libérés dans une transe collective.
Le Venoge Festival, au fil de ses soirées, s’impose comme un voyage éclectique où les frontières musicales s’effacent pour laisser place à une émotion pure.
Et vous, quel artiste de cette 3ᵉ journée aura marqué votre mémoire sonore ?
Venoge Festival – Jour 2 : L’art de réinventer la nostalgie
✨ Venoge Festival – Jour 2 ✨
Une soirée « revival » électrique : Sean Paul enflammant la scène, UB40 et leurs harmonies veloutées, Sheila radieuse, et l’énergie pop de Plastic Bertrand.
À Minuit 27, un plateau culte avec Helmut Fritz, Leopold Nord et Vous, et Laroche Valmont… Une machine à remonter le temps, version live. 🎶💫
#VenogeFestival #Revival #SeanPaul #UB40 #Sheila #PlasticBertrand #HelmutFritz #LeopoldNordEtVous #LarocheValmont #LiveMusic #FestivalVibes #Concerts #Nostalgie #80s #2000s
Thomas_Ebert_ photographe venoge festival 2025
On le sait, le Venoge Festival possède ce talent rare : mêler la puissance de l’instant au charme du souvenir. Ce jeudi 14 août, la soirée « revival » en fut l’illustration parfaite, orchestrant un dialogue musical entre générations.
Sean Paul a ouvert le bal avec cette maîtrise rythmique qui lui est propre. Un set calibré pour l’ivresse collective : basses vibrantes, refrains scandés en chœur, et cette énergie solaire qui traverse la foule comme une onde. UB40 a ensuite imposé sa patte reggae feutré, voix caressante, arrangements impeccables rappelant qu’un classique, bien interprété, n’appartient à aucune époque.
photographe : @Andreani_Antoine venoge festival 2025
Puis vint Sheila, silhouette lumineuse, offrant un show millimétré où la prestance scénique le disputait à la générosité vocale. Et lorsque Plastic Bertrand est apparu, le public s’est laissé happer par un rock pop effronté, ponctué de clins d’œil complices.
Photographe: Davide Gostoli_DS Venoge festival 2025
Mais la soirée n’en avait pas fini avec ses surprises. À Minuit 27, la scène s’est transformée en cabaret pop multicolore : Plastic Bertrand y a retrouvé Helmut Fritz, Leopold Nord et Vous, ainsi que Laroche Valmont. Un casting qui, sur le papier, relevait du fantasme nostalgique et qui, sur scène, a livré une performance à la fois débridée et parfaitement tenue. Des refrains des années 80 aux hymnes des années 2000, le set fut un tourbillon maîtrisé, jouant sur la corde sensible sans jamais sombrer dans le pastiche.
En filigrane, cette soirée a rappelé que le revival, lorsqu’il est porté par des artistes authentiques et une scénographie soignée, n’est pas un regard vers le passé… mais une manière d’amplifier le présent.
Venoge Festival 2025 Trente ans de musique en plein air : une ouverture brûlante sous le soleil de Penthaz
Venoge Festival 2025 30 ans de musique, d’énergie et de chaleur !
Hier, Penthaz a vibré sous un soleil de plomb pour l’ouverture de cette édition anniversaire.
Greg Fisher annonce une prog incroyable + une surprise spéciale pour le show de Mosimann.
Nouvelle identité visuelle signée Catherine Pearson : fleurs, couleurs & vibes She’s a Rainbow.
1 200 bénévoles + 100 % d’électricité verte 🌿 grâce à Romande Énergie.
Objectif : battre le record avec 50 000 festivaliers !
Hip-hop brûlant, revival festif, stars internationales & talents suisses… Le Venoge est prêt à marquer l’été. ✨💛
#VenogeFestival #30ans #LiveMusic #FestivalVibes #SuisseRomande #Summer2025mmence par une idée.
@venoge festival
Penthaz (VD) Le thermomètre flirtait hier avec l’excès, mais rien n’a entamé l’enthousiasme des festivaliers venus assister à l’ouverture de la 30e édition du Venoge Festival. Sous un ciel incandescent, les champs dorés du Gros-de-Vaud vibraient déjà au son des premières basses, donnant le ton d’une célébration où la chaleur météorologique autant qu’humaine serait de la partie.
Derrière cette édition anniversaire, Greg Fisher, programmateur du festival, a levé le voile sur une affiche qu’il qualifie lui-même de « magnifique », promettant en prime une surprise spéciale pour le set de Mosimann. Objectif affiché : dépasser les 50 000 spectateurs grâce à une configuration repensée pour accueillir plus de public tout en optimisant le confort et la fluidité sur le site.
Une identité visuelle poétique signée Catherine Pearson
Cette année, le festival se pare d’un nouvel habillage graphique imaginé par la jeune illustratrice lausannoise Catherine Pearson. Inspirée de She’s a Rainbow des Rolling Stones, elle a conçu un univers coloré et fleuri qui enveloppe la communication et le site de touches joyeuses et lumineuses, parfait reflet de l’ADN du Venoge : populaire, ouvert et enraciné dans son paysage rural.
Musique et écologie main dans la main
Le Venoge Festival 2025 n’est pas seulement une fête musicale : il affirme son engagement écologique. Grâce à son partenariat renforcé avec Romande Énergie, l’événement fonctionne désormais à 100 % sans énergie fossile, grâce à des aménagements semi-permanents qui réduisent considérablement son empreinte carbone. Sur le terrain, 1 200 bénévoles œuvrent dans l’ombre et au grand jour pour faire tourner cette immense mécanique avec la précision d’une horloge… mais le sourire d’un hôte de village.
Une ouverture brûlante et urbaine
La soirée inaugurale « 100% Urban » a réuni hier soir Gazo, SCH, Franglish, Jok’Air et KT Gorique. Les vibrations lourdes des basses semblaient se mêler à l’air chaud, créant une atmosphère à la fois dense et électrique. Les festivaliers, un verre frais ou un éventail à la main, alternaient entre les pogos devant la scène et les zones d’ombre soigneusement disposées.
Les temps forts à venir
Jeudi – Soirée Revival : Sean Paul, UB40, Sheila et Plastic Bertrand en maîtres de la nostalgie festive.
Vendredi – Première suisse romande pour Jason Derulo, aux côtés de Bigflo & Oli et Sens Unik, pour une soirée calibrée grand public.
Samedi – Déjà complet : Mika, IAM, Eddy de Pretto et la nouvelle scène suisse avec Nuit Incolore, Flèche Love et Mosimann, dont le show réserve un moment exclusif pour les fidèles du festival.
En trois décennies, le Venoge est passé du statut de fête locale à celui d’acteur majeur de la scène musicale estivale romande. Et cette édition anniversaire, portée par un souffle créatif et une ambition renouvelée, s’annonce comme l’une des plus mémorables de son histoire.